Qui êtes-vous ?

Photographe à l'origine, je crée aujourd'hui au profit de la cause animale, des accessoires de mode et des bijoux en textiles et divers matériaux (laine,bois,perles) toujours dans un esprit d'éco-création

samedi 20 octobre 2012

vegéphobie-homophobie

de même que l’homophobie est garante d’un ordre social fondé sur l’assignation des genres masculin et féminin, sur la domination masculine et sur la contrainte à l’hétérosexualité qui en découle, la végéphobie joue le rôle de garde-fou vis-à-vis d’un système fondé sur la différenciation stricte des animaux et des humains, sur le refus de considération des intérêts des premiers et sur la domination des seconds. L’homophobie consiste en un ensemble très varié de dispositifs sociaux violents visant à réprimer (ridiculiser, décourager, invisibiliser, punir…) l’homosexualité masculine (ou une masculinité jugée insuffisamment « virile ») et féminine en tant qu’elles constituent une menace pour l’ordre genré et la domination masculine.
La notion de végéphobie regroupe elle aussi des comportements très variés qui visent à dissuader quiconque de remettre en cause la consommation de la chair des animaux, qui est la pratique principale et le symbole le plus important de la domination spéciste.
La végéphobie est un des aspects du refus de tout ce qui peut faire vaciller les certitudes spécistes et remettre en cause l’exploitation et la place des animaux dans notre société.
http://www.vegmundo.com/wp-content/uploads/2011/07/la_vegephobie.pdf

jeudi 23 août 2012

comment milité ?

pour mes amis intelectuel, mes publications pour sensibilisé les gens a la soufrance animale son faite pour tout le monde..
.parfois il ya des texte racoleur,des fotos racoleuses ,ça ne vous plait pas...vous voulez quoi pour sensibilisé la majorité?
de plus, les gens qui font ces publications (c'est pas moi et je ne les connai pas)son peut etre des benevoles dont ce n'est pas le metier,alors un
peu d'indulgence...
parfois il ya des fotos bisounours...parfois des fotos atroces...vous savez vous qui critiquer comant faire pour touchez un maximum de gens...si vous le savez, venez travailler avec des gens qui donne de leur personne pour cette cause!
je choisi mes publications,j'essaie de prendre les plus esthetique,j'essaie de prendre des reportages fiables et pat trop outrancier,je choisi en general des reportages qui vienne d'arte,ou d'association en qui j'ai confiance...je ne connais pas tout,il peu m'echaper des truc plus douteux,je ne vais pas visionner tout,et voir des animeaux torturer plusieur fois par jours quand meme.voila,c'est dit a tout les critiqueurs et critiqueuses.



et je rajoute ici le comentaire qu'une amie m'a laisser sur fecebouc et que j'aime beaucoup.

 " Tu l'as très bien dit : comment toucher un maximum de gens sans en bousculer quelques uns...
Pour faire avancer une cause, on est contraint d'adopter une ligne au moins un peu plus " dure " que ce qui est communément admis.

C'est d'ailleu
rs ce sur quoi comptent tous les trafiquants, ceux qui abusent. Leur meilleur allié, c'est la passivité des masses, le consensus de tous ceux qui se disent " bof tant que ce n'est pas dans mon jardin, dans mon escalier, tant que ce n'est pas mon fils, ma fille, que tout va bien dans ma rue pour moi, mon chien, mon frigo et ma télé, tout va bien dans le monde".

Et puis tu as ceux qui poussent, qui s'insurgent, qui font bouger les lignes.

Mais c'est très lent. J'avais entendu que vers le IX ème siècle, je ne sais plus quel roitelet européen bougon avait la manie, lorsqu'on lui envoyait un ambassadeur, de renvoyer ce dernier les yeux crevés et la langue coupée.
Donc, bon, ça bouge, mais lentement, lentement...

Ce qui est curieux, c'est comment et pourquoi l'humain, qui après tout était un animal, s'est constitué ce capital de cruauté et d'aveuglement imbécile qui le pousse à tout détruire autour de lui dans un grand saccage de souffrance, et dont il faut que la civilisation le débarrasse aussi lentement..."
 
 
 
voila je trouve que c'est tres bien dit.

mardi 14 août 2012








bracelet flamenco,perle ceramique perle de verre artisanale,et tjrs  mes gains pour les animeaux ,( 10E pour ce bracelet)

mercredi 25 juillet 2012

on les aimes ou on les manges?

Pythagore à dit :
"Quiconque tranche avec un couteau la gorge d’un bœuf et reste sourd aux meuglements d’effroi, quiconque est capable d’abattre de sang-froid le chevreau hurlant et mange l’oiseau qu’il a lui-même nourri, est-il encore très éloigné du crime ?"
http://www.marmiton.org/recettes/selection_vegetarien.aspx 

samedi 21 juillet 2012

cité radieuse ,le corbusier.



Un dimanche matin de juillet à Marseille. Il fait beau. Pas  trop chaud car il est encore tôt. Nous tentons, malgré la torpeur des réveils de vacances, une petite visite à la Cité Radieuse, que mon amie Dominik, venue des Corbières, tenait à voir absolument. Pourquoi cet intérêt ? Elle vous expliquera elle-même dans son blog pourquoi elle approuve les principes de « village vertical », tentative d’une nouvelle forme de cité  par Le Corbusier entre 1945 et 1952 et qu’elle pense être aujourd’hui une bonne alternative à la défiguration du paysage par l’étalement disgracieux des lotissements en série. Et malgré mon scepticisme sur le bonheur d'y habiter, je dois dire apprécier le concept, la recherche, l'"œuvre d'architecte".
ben voyons je vais explicationner...mais tu le fait si bien toi meme !

Au lieu de subir les tares et la vétusté de nos villes actuelles, Le Corbusier montra qu’il était possible de construire des villes nouvelles de qualité.

En augmentant le volume des immeubles  d’habitation on pourrait libérer entre eux de grandes surfaces d’espace libre. En ordre de grandeur, les immeubles de nos villes anciennes ont environ 10 mètres d’épaisseur et 25 mètres de hauteur. En doublant ces deux dimensions, donc en quadruplant le volume et en construisant des immeubles de 15 à 20 mètres d’épaisseur et de 50 mètres de hauteur, on pourrait libérer de grands espaces sans diminuer la densité. Les immeubles seraient espacés les uns des autres d’environ 250 à 300 mètres ou même plus. Les espaces seraient avant tout des jardins. Au lieu d’ouvrir les fenêtres sur des rues, tous les appartements ouvriraient sur des parcs. Dans ces espaces verts des routes remplaceraient les rues. Certains équipements pourraient y être réalisés tels qu’écoles, terrains de sport et de jeux, dispensaires, jardins de promenade, parkings, etc.  les grands équipements collectifs étant rassemblés dans les centres urbains. Le principe de ville fut nommé  "Ville radieuse" par le Corbusier. Il en dessina de nombreux plans de principe. L’un des plus exemplaires est le plan qu’il proposa en 1945 pour la reconstruction de St-Dié.

 André WOGENSCKY
  Achitecte Membre de l'Institut - Académie des Beaux-Arts

texte issu du site la cité radieuse

mardi 10 juillet 2012

Photo d'art et cause animale

Pour allier créativité et causes qui me tiennent à coeur, je vous annonce la parution en ligne de mon livre "Natur" de photographies de paysages et d'éléments naturels.
Le prix public intègre le coût de fabrication de la plateforme. Mon bénéfice sur les ventes est intégralement reversé aux associations de protection animale. (me contacter pour toute information supplémentaire).
Un petit avant-goût de ce que vous y trouverez, émaillé de citations de sagesse amérindienne  :

Photo de Dominik Cuaz "Arbre" Album "Natur"
Regardez mes frères, le printemps est venu, la terre a reçu les baisers du soleil et nous verrons bientôt les fruits de cet amour. Chaque graine est éveillée, et de même, tout animal est en vie. C'est à ce pouvoir mystérieux que nous devons nous aussi notre existence. C'est pourquoi nous concédons à nos voisins, même nos voisins animaux, autant de droit qu'à nous d'habiter cette terre.
Tatanka Yotanka, ou Sitting Bull, grand chef Sioux

Photo de Dominik Cuaz- Album "Natur"

Tahca Ushte (Lakota) :
Ne faites pas de mal aux arbres, ni à la terre, ni à la mer! 

Photo de Dominik Cuaz- Lac au Portugal - Album "Natur"

lundi 9 juillet 2012

vache laitiere

Pour le non-initié, la découverte d’une exploitation laitière géante est un spectacle stupéfiant montrant de vastes étables ouvertes, des montagnes de fourrage, de véritables piscines contenant de millions de litres de purin et des centaines de milliers de vaches résignées. Après avoir obtenu une autorisation de la part d’employés maussades, nous partons à la découverte de cet univers cyclopéen, plus proche de l’usine et du travail à la chaîne que de la ferme. On y voit des rangées de vaches titubant sous le poids de leurs mamelles enflées avant d’entrer dans des salles de traite automatisées. C’est un cycle ininterrompu et quotidien qui ne s’arrête que lorsque les vaches commencent à produire moins. Elles sont alors à nouveau inséminées ou envoyées à l’abattoir ; épuisées et éliminées après seulement quelques années de vie à l’usine. Les vaches des mégafermes laitières américaines ne verront jamais un coin d’herbe de leur existence. Leur seul moment de répit, elles le trouvent sous les abris poussiéreux où elles patientent entre deux traites.
Les vaches Holstein sont la race préférée des mégafermes laitières, leur haute carcasse contrastant vivement avec les énormes pis veineux se balançant sous leur ventre. Leur lait est de moins bonne qualité que celui des autres races et contient davantage de pus, mais ces bêtes d’élevage compensent ce défaut de qualité par la quantité : soumises à trois traites par jour et gavées d’hormones de croissance et d’antibiotiques pour lutter contre des infections fréquentes, les vaches ont doublé leur production de lait en seulement quarante ans.


moi qui croyai que les vaches laitieres etaient epargnées.........